• Chers amis, La fete de SAINTE COLETTE approche à grands pas...Vous désirez mieux connaitre cette sainte ?

    Rejoignez-nous sur youtube

    et écoutez la nouvelle hymne pour la fete de Sainte Colette composée pour le monastère par le frère David (En-Calcat) et par Ph. Robert. Vous y entendrez les clarisses françaises d'Assise louer le Seigneur !

    Et bien entendu, nous vous invitons à vous joindre à notre prière lors de l'Eucharistie festive célébrée par l'éveque d'Assise dans notre chapelle :

    DIMANCHE 7 FEVRIER à 11h.
     

    Pace e Bene !
    Les soeurs clarisses françaises d'Assise


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    un blog pour répondre à toutes tes questions

    www.vocationfranciscaine.com

     


  • Viens Esprit Dieu pour nous faire chanter, danser en nos vies

    viens travailler Esprit de Dieu

    Que nous reconnaissions l'Esprit qui œuvre comme le Vieillard Siméon qui reconnut le Messie

    (spécialement aujourd'hui pour les Consacrés, fête de la Présentation)

     


  • Ste Thérèse, la plus grande sainte des temps modernes (selon le pape Paul VI) docteur de l’Eglise avec sa petite voix, disait de ses parents :

    « Le bon Dieu m’a donné un père et une mère plus dignes du ciel que de la terre ». 

     

    De janvier 1863 au 16 août 1877, Zélie a écrit 217 lettres

    où elle livre au jour le jour ses impressions, ses projets et ses rêves.

    L’esprit de famille lui a dicté. Ecrites hâtivement le dimanche au jet de plume

    sans ratures, par une femme harassée de fatigue, au terme d’écrasantes semaines de labeur.

     

    Bien avant qu’on parle de sainte Thérèse, les parents martin jouissaient d’une réputation de sainteté dans le cercle familial, comme dans le cercle plus élargi des amis de connaissances.

     

    « Exemplaires ne signifie pas que l’on doit imiter leur vie ni tout ce qu’ils ont fait, mais prendre comme eux tous ces moyens surnaturels que l’Eglise, Mère des saint et experte en sainteté, et donc en humanité, offre à chaque chrétien, afin qu’il devienne saint selon les promesses du Baptême ». (cardinal José Saraiva martins, conférence Alençon-Lisieux, juillet 2008).

     

    "Je pense souvent à ma sainte sœur, à sa vie calme et tranquille; elle travaille elle non pas gagner des richesses périssables, elle amasse que pour le Ciel vers lequel vont tous ses soupirs. Et moi, je me vois là courbée vers la terre, me donnant une peine extrême pour amasser de l'or que je n'emporterai pas et que je ne désire pas emporter. Qu'est-ce que j'en ferais la haut !

    Quelque fois, je me prends à regretter de n'avoir pas fait comme elle, mais tout de suite je me dis "Je n'aurai pas mes quatre filles, mon charmant petit Joseph ! Non, il vaut encore mieux que je sois à peiner où je suis et qu'ils soient là. Pourvu que j'arrive au Paradis avec mon cher Louis et que je les vois tous bien mieux placés que moi, je serai assez heureuse comme cela, je n'en demande pas d'avantage".

     

     

    « A sa belle sœur très éprouvée elle écrit en guise de consolation : « Mme Y. parait plus heureuse que vous, elle ne vit que pour le luxe et le plaisir, elle donne des bals à la mi-carême et cependant, me croirez-vous, j’aime mieux vous voir avec vos adversités que de vous supposer, comme elle, oubliant le Ciel pour les courts plaisir de la terre ».

     

    « Dans quelle illusion vivent la plupart des hommes ! Possèdent-ils des richesses ? Ils veulent aussitôt des honneurs ; et, quand ils les obtiennent, ils sont encore malheureux, car jamais le cœur qui cherche autre chose que Dieu n’est satisfait ».