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Relayée par Aleteia, cette vidéo pour redonner la joie : un concours de "dunk" des franciscains du Bronx afin de récolter des dons pour "Mary's Meal" (si tu veux en savoir plus, clique là : Mary's Meals) Juste génial !
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Du 11 au 19 mars, nous te proposons de vivre une neuvaine jusqu'à la fête de saint Joseph.
Je te salue, Joseph,
toi que la grâce divine a comblé,
le Sauveur a reposé dans tes bras et grandi sous tes yeux,
tu es béni entre tous les hommes,
et Jésus, l’Enfant divin de ta virginale épouse, est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
prie pour nous dans nos soucis de famille,
de santé et de travail, jusqu'à nos derniers jours,
et daigne nous secourir à l’heure de notre mort.Amen.
Chaque jour, à la fin de la prière à saint Joseph, prie : un Notre Père, un Je vous salue Marie, puis l'invocation : "Saint Joseph, prie pour nous !"Il est bon, pendant la neuvaine, de te trouver un temps pour te confesser et vivre l'Eucharistie.
Mais pourquoi donc prier saint Joseph ?
POUR T'AIDER, CET ARTICLE DE FAMILLE CHRÉTIENNE DU 2 MARS 2012 :
Pourquoi se tourner spécialement vers saint Joseph ?
Parce qu’il n’est pas un saint comme les autres. En lui confiant le soin de veiller sur ses deux plus grands trésors – Jésus et Marie – Dieu l’a chargé d’une mission à part. À mission d’exception, homme d’exception :saint Joseph est auréolé des plus grandes vertus, comme le rappellent ses litanies : très juste, très chaste, très prudent, très courageux, il est aussi très obéissant, très fidèle, miroir de patience… Le 19 mars 2011, Benoît XVI (alias Joseph Ratzinger), qui avait déclaré le jour de son élection être « un humble travailleur dans la vigne du Seigneur », a mis l’accent sur l’humilité de son saint patron : « un humble travailleur, qui a été rendu digne d’être le gardien du rédempteur ».
L’Église, qui élève les humbles, l’a placé au-dessus du commun des « immortels » : « De tous les saints, affirmait Léon XIII dans l’encyclique Quanquam pluries, il est le plus élevé au ciel, après Jésus et Marie ». Avant lui, s’appuyant sur la tradition, le pape Pie IX l’avait déclaré patron des pères de famille le 8 décembre 1870. Puis, le bienheureux Jean XXIII a inséré son nom au sein du missel de la messe. Aujourd’hui, il est l’un des rares saints à être fêté deux fois dans l’année : le 19 mars et le 1er mai.
Que peut-on lui demander ?
Léon XIII lui a décerné officiellement le titre de « saint patron des chefs de famille et des artisans » (1889). On lui confiera donc, qui un époux, un père, qui un fils, un frère… À l’instar de ce clan familial qui chaque année « fait la neuvaine du 11 au 19 mars pour tous les hommes adultes de la famille ». Remettons-lui « nos soucis de famille, de santé, de travail », comme nous y invite la prière du Je te (vous) salue Joseph. Il est l’avocat de ceux qui cherchent un emploi, un toit, l’âme sœur, ou qui désirent un enfant. Dans ces domaines, il fait des merveilles !
Rappelons-nous aussi qu’en 1661, à la suite des apparitions de Cotignac, Louis XIV lui avait consacré la France. Alors, pourquoi ne pas lui confier notre pays en cette période d’élections ?
Plus largement, on peut tout demander au patron de l’Église universelle. Sainte Thérèse d’Avila, qui l’avait choisi comme protecteur de son ordre et qui affirme que « son crédit auprès de Dieu est d’une merveilleuse efficacité pour tous ceux qui s’adressent à lui avec confiance », se recommandait à lui en toutes choses.
Quand il n’exauce pas (tout de suite, ou comme on voudrait), il prodigue lumière et consolations ; il fait grandir la foi, l’espérance et la charité. « Jamais je n’ai connu personne qui l’ait invoqué sans faire de progrès notables dans la vertu », rapporte sainte Thérèse d’Avila.
Car, avant d’être un recours dans les difficultés, saint Joseph est une personne à aimer et un modèle à imiter. Plus on le fréquente, plus on goûte sa tendresse et celle de la Sainte Famille.
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Volé à Jeanne d'Arc par l'évêque Cauchon lors de son procès, l'anneau de la sainte, propriété des Anglais depuis 1431, vient d'être acheté aux enchères par le Puy du Fou.
L'affaire commence le 24 février 2016. Ce jour-là, Me Jacques Trémolet de Villers, qui vient de publier un livre sur le procès de Rouen, alerte son ami Philippe de Villiers que l'anneau de Jeanne d'Arc, aux mains des Anglais depuis son martyre en 1431, sera mis aux enchères le 26 février par la maison Timeline Auctions de Londres. L'avocat connaît l'existence de l'objet, car il est mentionné dans les interrogatoires d'époque. Il s'agit d'un anneau en laiton décoré de trois croix et sur lequel est inscrit « Jhesus Maria ». L'évêque Cauchon, qui devait condamner sa prisonnière pour sorcellerie, prétendait qu'elle l'avait utilisé pour accomplir de fausses guérisons. Peu scrupuleux, il le confisqua, puis le donna ou le vendit au cardinal anglais Henry Beaufort. A compter de ce moment, le bijou ne quittera plus l'Angleterre. Son authenticité étant crédible, Philippe de Villiers y voit aussitôt l'occasion de rapatrier une relique chargée de symbole.
Averti par son père, Nicolas de Villiers, président du Puy du Fou, décide de racheter l'anneau. Il reste alors moins de 36 heures pour réunir les fonds. « On se doutait que la vente allait battre des records, raconte Nicolas de Villiers. La Fondation "Puy du Fou Espérance", en tant que personne morale, pouvait y participer à hauteur de 80.000 € mais pas au-delà. Nous avons donc fait appel à des donateurs et nous sommes arrivés à la somme de 350.000€. » Le 26 février, mandaté par la Fondation, un avocat se rend aux enchères de Londres. Mis en vente à 19.051 €, l'anneau de la sainte affole la salle. Tout le monde surenchérit. Finalement, les Français l'emportent à 376.833 €. Le porte-parole de Timeline Auctions se contentera de déclarer: « Il rentre en France ». Sans donner l'identité des acquéreurs, que Le Figaro Magazine révèle dans son édition du 4-5 mars.
Le mot de la fin appartient à Nicolas de Villiers, acteur principal de l'opération : « J'irai le chercher le 4 mars et nous organiserons une cérémonie officielle le 20 au Puy du Fou. Ensuite, l'anneau sera exposé au public dans un lieu dédié du parc. Il faut que chacun puisse le voir. N'oublions pas que Jeanne d'Arc est la patronne de la France. »
Lu ici : INFO LE FIGARO MAGAZINE