• La perle et le coquillage... 

    Dans certains coquillages, se trouve une perle précieuse, rare, très recherchée, belle et ayant beaucoup de prix. Sauf que voilà... si tu essaies de toucher cette perle nichée au creux de sa coquille, tu lui fais "mal" et le voilà qui se referme instantanément : action réflexe pour se protéger de l'envahisseur qui fait intrusion... non mais !!! 

    Et si nous étions chacun et chacune un coquillage avec une perle précieuse à l'intérieur. Il t'arrive sans doute parfois que quelqu'un te pose une question un peu trop indiscrète à ton goût, ou bien qu'elle appuie sur un point sensible de ta vie, un truc difficile que tu traverses en ce moment, ou bien encore qu'elle ait eu "l'audace" de te demander de partager un bout de ta vie spi avec Jésus, ce que tu vis en profondeur... Quand bien même tu n'es pas obligé d'y répondre, regarde comme parfois tu peux te crisper, te tendre, répondre évasivement pour fuir la question. Et si justement, ce que nous avions de plus précieux, de plus beau, notre fragilité même, et notre faiblesse, ne devrions-nous pas nous livrer un peu, ou livrer cette perle, si fragile mais pourtant si belle pour nous faire grandir les uns les autres, prier les uns pour les autres, apprendre à se découvrir, à s'enrichir et à s'aimer : cela, c'est un bout de la communion des saints ! Alors on pourra admirer aussi la perle qui habite le cœur de notre prochain ! 


     


  • Le cavalier et son cheval... Voilà la petite histoire spi de cette semaine... ou l'apprentissage de l'obéissance. 

    Il y a différente manières de monter. Le cavalier peut avoir une selle, des rênes, les mors, une bombe en cas de chute... et c'est parti ! Pour tourner à droite, on ouvre le bras à droite, pour l'arrêter, on tire... pas très délicat tout cela, mais évident... Puis, il y a certains cavaliers qui montent à crus, rien de très stable pour tenir donc, mais ça demande une maîtrise beaucoup plus grande, une certaine souplesse aussi... Enfin, il y a ceux qui n'ont ni selle, ni rêne, ni mors, rien... que leur corps pour exprimer au cheval quel chemin emprunter, quel obstacle sauter : ça demande beaucoup de travail, de patience, d'union entre le cavalier et sa monture... tout se fait dans une parfaite obéissance de l'un à l'autre, une parfaite écoute. 

    Dieu, c'est le cavalier. Toi le cheval. Au départ, on n'est pas très docile : il nous faut des signaux clairs, très clairs, évidents pour avancer, quelques pairs de claques paternelles de la part de Dieu pour nous réveiller quand on va se prendre un mur... On est novices... il nous faut tout apprendre 

    Puis, peu à peu, nos sécurités s'en vont : Dieu veut nous apprendre une obéissance plus profonde, plus mâture, plus adultes. On devient plus souple à la grâce. 

    Enfin, v=V (ma volonté=Volonté de Dieu) : je ne fais plus qu'un avec mon Seigneur. Il suffit qu'il effleure ma volonté pour que je comprenne son projet d'Amour, la direction qu'il m'indique. C'est la sainteté, l'union à Dieu !


  • Voici les photos de ce week-end à Paris pour la Marche pour la Vie. Et avec le sourire les enfants!

    Photos Marche pour la Vie



  • Lettre Petite  Cordée 3 :  Que fait donc une fleur pendant la nuit ? Elle se ferme, se recroqueville sur elle-même, rapatrie ses pétales à la maison : plus personne de ne la voit, elle est solitaire, on pourrait même la confondre avec un brin d'herbe. Oui, mais... voilà que dès que le soleil pointe ses premiers rayons, elle se déploie, s'ouvre, ne se cache plus, tu peux enfin découvrir sa couleur, son parfum, son caractère... 

    Et toi ? Tu fais quoi de ta vie ??? Tu te fermes plutôt sur toi-même ? Combien de fois on évite de croiser un tel ou une telle qui nous barbe, on se replie dans nos carapaces parce qu'on se sent tristes, tous plein de soucis, un joli sourire "bien faux", et ça passe, on se fond dans la paysage (comme la fleur dans la pelouse)... on avance tant bien que mal, et plutôt mal que bien... 

    Sauf que, le soleil, tu l'oublies un peu trop... C'est le Seigneur, ton Dieu ! Apprends à te poser 1, 2, 5, 10, 30, 50 minutes par-ci par-là devant Jésus (adoration ou pas) pour retrouver du peps, de la vie, ton caractère si joyeux (si, si, t'es fait(e) pour la joie !), et alors tu pourras exhaler un parfum particulier pour les autres, avec la personnalité propre que le Seigneur t'as donnée : tu seras un baume pour eux ! 






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